Il y a si peu de temps, Entre vivre et mourir, Qu'il faudrait bien pourtant, S'arreter de courir, Toi que j'ai souvent cherche, A travers d'autres regards
O mes theatres, O mes silences, Mes paradis et mes enfers, Mes tenebres et ma transparence, O mes etes, O mes hivers, O mes velours, O mes amours, O
le merveilleux. J'ai dechire comme un rideau L'espace, la brume et le vent. A chacun sa revolution Et a chacun son derisoire. Mois, je fais ma guerre en chansons. Je n
Les raisons de mon silence Sont Raison d'amour, Raison chagrin, Besoin de toi, Etat de manque, Sont les raisons de ma deraison. La nuit est longue, La
Tire-pas, tire-pas. La vie c'est pas cinema. Joue-pas, pose ca. On perd sa vie a ces jeux la. Tire-pas. Ce n's'ra pas Cine-cinema. C'est suffisant qu
Si s'Aimer d'Amour, C'est mourir d'Aimer, Sont mourus d'Amour, Sida Sidannes, Les Damnes d'Amour, A mourir d'Aimer, Ils sont morts d'Amour, D'Amour Sidanne
De quelle nouvelle Babylone, Viennent ces belles amazones Avec leurs franges sur le front. Sont-ce des anges ou des demons ? Qui sont-ils ou qui sont
ai calme ma violence, Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous, Les temps d'hiver et d'automne, De nuit, de jour, et personne, Vous n'etiez jamais
Nord Et je viens dormir au soleil. Faites-moi place. Tu sais, Ce n'est pas que tu sois parti Qui m'importe. D'ailleurs, tu n'es jamais parti. Ce n'est
Comme le vent mouvant, Venus Du Nord au Sud, Comme le vent mouvant, Venus De l'Est en Ouest, Franchissant les torrents, Les coteaux, Les rivieres, Franchissant
Reveuses de parloir, De cellules en couloirs, De courage en espoir, De rage en desespoir, Reveuses de parloir, Dans votre vie placard, Sans ciel, Sans
Aeroport Du bout du monde. Fin de tournee. Avion retard. Long, ce depart. J'suis excedee. Dans salle d'attente, Mal sur sa chaise, Drole de p'tite fille
Coline, oh ma douce, J'entends ton rire dans mes reves. Sur la pierre, il y aura mousse Sans que ta voix en moi ne s'acheve. Coline, douce douce, Devenue
Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie, Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris, Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie
Quand je serai morte, Enterrez-moi Dans un piano noir comme un corbeau, Do, re, mi fa, sol, la, si, do. Quand je serai morte, Ecrivez dessus, comme il
On ne peut pas, on n'en peut plus Et tous seuls dans le silence D'une nuit qui n'en finit plus Voila que soudain on y pense A ceux qui n'en sont pas
Acier Pour vous raconter ca Il fallait une java J'en ai fait une bath ecoutez-la Mais j' vous previens surtout J' suis pas poete du tout Mes couplets n
Bien sur, ce n'est pas la Seine, Ce n'est pas le bois de Vincennes, Mais c'est bien joli tout de meme, A Gottingen, a Gottingen. Pas de quais et pas