: Je suis tout seul ce soir J'ai les bras colles au comptoir J'ai les pieds en bas dans la poussiere La tete la-haut dans le brouillard Dans tous les
voir trop briller ses yeux Je lui ai dit Si tu pleures pour un garcon Tu seras pas la derniere Souvent, les poissons sont bien plus affectueux Va faire un petit tour
: Elle etait deja la bien avant Que les camions ne viennent, Elle tournait comme une enfant, Une poupee derriere la scene. C'etait facile de lui parler
: J'ai rapproche les coussins J'ai mis quelques fleurs autour J'ai fabrique un ecrin Avec du mauvais velours Il me restait du parfum, du parfum Quelques
: Leila si tu savais les yeux qu'elle a Quand elle voit s'approcher les chasseurs? Pas la peine de mentir, Leila sait ce que veut dire Ce feu sous les
: Tous les soirs, la meme fille attend Sur le meme square, le meme banc Comme une madone oubliee, les jambes croisees Elle voyage au milieu des maisons
: Tu voudrais qu'elle t'aime T'as change tes manieres, Tu prends des allures mondaines, Tu racontes seulement Tes voyages en premiere, en premiere. Tu
: Il arrive, elle le voit, elle le veut Et ses yeux font le reste Elle s'arrange pour mettre du feu Dans chacun de ses gestes Apres c'est une histoire
du feu Qui rechauffait son pere Et la troupe entiere de ses aieux Le soleil sur les murs de poussiere Il voulait trouver mieux... Il a fait tout le tour
: Je veux dedier ce poeme, A toutes les femmes qu'on aime, Pendant quelques instants secrets, A celles qu'on connait a peine, Qu'un destin different
: Moi je marchais les yeux par terre Toi t'avais toujours le nez en l'air Et c'est comme ca qu'on s'est connu On avait chacun sa guitare On n'etait pas
dans la cour Et dessous le lilas J'ai chante sans detour: Quand j'aime une fois, J'aime pour toujours. {2x} L'amour est un tournoi Ou tombent tour a tour
: Allumes les postes de television, Verrouillees les portes des conversations, Oublies les dames et les jeux de cartes, Endormies les fermes quand les
: Les chevaliers Cathares Pleurent doucement, Au bord de l'autoroute Quand le soir descend, Comme une derniere insulte, Comme un dernier tourment, Au
Tu voudrais qu'elle t'aime T'as change tes manieres, Tu prends des allures mondaines, Tu racontes seulement Tes voyages en premiere, en premiere. Tu
Allumes les postes de television, Verrouillees les portes des conversations, Oublies les dames et les jeux de cartes, Endormies les fermes quand les
Tous les soirs, la meme fille attend Sur le meme square, le meme banc Comme une madone oubliee, les jambes croisees Elle voyage au milieu des maisons