dans le ciel La courte echelle Souffrance, parallele trop rance J?appelle l?esperance Pour retrouver des ailes Elle est partie, oui, je dis Triste, je pleure la mort de l
perdue dans le ciel La courte echelle Souffrance, parallele trop rance J?appelle l?esperance Pour retrouver des ailes Elle est partie, oui, je dis Triste, je pleure la mort de l
L'arbre s'affaisse au murmure de l'il qui chuchote a la bouche, offense, faute, simple secret. Ca avance comme un flot de methane. Empourprant ma gangrene
j'ai tant d'amis J'ai la france entie`re Un vieil homme dans un grenier Pour la nuit nous a cache' Les allemands l'ont pris Il est mort sans surprise
Mal hurle, je l?entends hurler, des fleurs poussent, El Diablo est carbonise Il implose, il explose et de l?anti-matiere jaillissent des ecchymoses Satan est mort
Et si c'etait le dernier jour Et ces paroles les dernieres flammes Tomberaient-elles dans l'oreille des sourds Mortes sans l'esperance de l'ame Le vent
arbres, silence de mort Puis l'bourdonnement des rotors Prends-moi, ouragan de feu Je veux danser avec les dieux Et dans un enfer mecanique M'eteindre
, la bas dans la vie Et la je veux y mettre le pas Mais seule, mon ame a l'acces Et je sais Que je n'ai aucun de ses abess Plus le jettable Je m'envolle
allonger, Sinon c'est froid comme en decembre. Quand le soir venu, j'm'en reviens du chantier, Apres mille peines et le corps harasse, J'ai le regard mort
tendre la main Si je dois tomber de haut Que ma chute soit lente Je n'ai trouve de repos Que dans l'indifference Pourtant, je voudrais retrouver l'innocence
l bereh f lile ana Kif?n?dir, kif?n?dir Je porte ce masque pour ressembler aux autres En garcon manque, une fille pas comme les autres Je m?attends
-bas dans la vie Et la je veux y mettre le pas Mais seule mon ame a l'acces Et je sais, Que je n'ai aucun de ses abces Plus leger qu'dabes je m'
Je veux chanter Je veux te faire t?agiter Sur les decombres de notre monde Je veux chanter Et je veux t'faire chanter Demain, je m?y remets
pas que les femmes, Ca n'aime pas l'bonheur quotidien Et l'pauvre garcon s'torturait l'ame : "Mais j'l'aime... mon Dieu... Ah que j'l'aime bien." Et,
etait l'amour du vice, l'amour du risque Poupee, tous les matins il se levait aux aurores Il te disait "Ma fee, je m'en vais juste nous chercher de l'
, meme a genoux. Mais ce soir, je suis fatigue de lutteret pense serieusement a tout deconnecter. L'hiver a pose son manteau,comme si la mort etait
tort J'y crois encore Et que le l'espace ou j'en creve Devienne un autre neant Quand le ciel devoile souleve En moi l'ame et l'emoi d'un geant Me retourner