Qu'en suivant leurs dictats xenophobes, On chasserait tous les microbes. Attention mon ami, je l'ai vue. Mefie-toi : la bete est revenue ! C'est une
preferent Allah, D'autres leur canari. Si t'es athee, sais-tu, Pour ces gars, t'est foutu. Turlututu. Ils dis'que tu te gourres Et que Dieu est amour
Quand Amelie m'aura quitte, Chacun ira de son cote. Ce s'ra dommage voire embetant, Surtout a l'age ou j'perds mes dents. Elle me dira, la frite en pleurs
pour faire un' telle musique, Il faut avoir le c?ur tout grand ouvert, Ouvert comme un moulin ou tout le monde vient. Si ta porte est ouverte a tout
Il faut etre doux avec Loulou. Elle comprend tout. Elle pig' mon cafard, Mes etats d'ame et tout l'bazar. Ell' n'est pas que belle. C'est un' mignonne
le diamant sur mon fumier, Elle un gravier dans mon soulier, D'autant qu'elle est un peu vulgaire. De plus, c'est une roturiere Issue de milieux interlop's, Mais voila : c'est
les chatons. C'est c'qu'il pretendait mais il n'aimait guere Tout c'qui etait negro Judeo-saxon, D'la grain' de racaille et de rastaquouere. Oui, c'est
naifs Qu'en suivant leurs dictats xenophobes, On chasserait tous les microbes. Attention mon ami, je l'ai vue. Mefie-toi : la bete est revenue ! C'est
-il ? Pourquoi j'ai l'vinaigre Et pourquoi t'as l'huile ? Et reponds aussi pourquoi A cett' question d'ma tribu, Quand le blanc ne se lave pas, C'est
(Lyrics by Victor Hugo) Demain, des l'aube, a l'heure ou blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la foret,
Je baisais, quand j'avais vingt ans, Dans tous les ports, dans toutes les villes De Borneo jusqu'a Lorient. Dehors, dedans, a domicile, Je baisais inlassablement
Je me souviens mes premiers emois En l'eclosion de mes vertes annees. Y avait la guerre et l'ecole, et pour moi, C'etait chagrin et le piquet Et marainotte
milliards de tonnes De gaz mortel CO2 S'envolent dans les cieux. L'effet d'serr'menace. Ca fait fond' les glaces. La mer mont' : c'est sans danger, Y